Madagascar s'enlise dans la crise politique
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Le conflit entre le président de la Grande Ile, Marc Ravalomanana, et le maire d'Antananarivo, Andry Rajoelina, est monté d'un cran ce week-end, après la violente répression d'une manifestation organisée samedi par l'opposition. Selon un bilan encore provisoire, au moins 28 personnes ont péri sous les tirs de la garde présidentielle et 212 autres ont été blessées.
La Tribune de Madagascar revient, en images, sur cette tragédie, tandis que Midi Madagasikara fait le point sur les armes dont est équipée la garde présidentielle : des "fusils à lunette dotés de viseur à laser". Depuis le 26 janvier, début des violences qui secouent l'île, une centaine de personnes ont trouvé la mort, tant dans le camp de M. Ravalomanana que dans celui de M. Rajoelina.
Dans ce contexte d'escalade, la communauté internationale, notamment l'Union africaine, est bien impuissante. "Ce bain de sang entrave plus que jamais les tentatives de dialogue initiées pour rapprocher les frères ennemis malgaches", estime ainsi Le Potentiel (RDC), pour qui les jours de Marc Ravalomanana à la tête du pays sont désormais comptés.
La Tribune de Madagascar revient, en images, sur cette tragédie, tandis que Midi Madagasikara fait le point sur les armes dont est équipée la garde présidentielle : des "fusils à lunette dotés de viseur à laser". Depuis le 26 janvier, début des violences qui secouent l'île, une centaine de personnes ont trouvé la mort, tant dans le camp de M. Ravalomanana que dans celui de M. Rajoelina.
Dans ce contexte d'escalade, la communauté internationale, notamment l'Union africaine, est bien impuissante. "Ce bain de sang entrave plus que jamais les tentatives de dialogue initiées pour rapprocher les frères ennemis malgaches", estime ainsi Le Potentiel (RDC), pour qui les jours de Marc Ravalomanana à la tête du pays sont désormais comptés.