La Banque de Maurice [BoM] vend des titres du Trésor en ligne
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maurice
Les opérations de vente aux enchéres des titres du Trésor se feront désormais de façon électronique.
C’est ce qu’a déclaré hier dans la matinée le gouverneur de la Bank of Mauritius ( BoM) lors d’un point de presse tenu au siége de la banque. En dehors de la presse, plusieurs responsables d’institutions bancaires avaient été conviés à cette conférence qui a précédé le premier Banking Committee de l’année 2009.
Selon Rundheersing Bheenick, il est temps pour la banque centrale de mettre à profit la plate- forme des technologies de l’information dont elle dispose pour accroître son efficacité.
« Cela fait maintenant presque deux décennies que la BoM procéde à la vente aux enchéres des titres du Trésor. Nous avons jusquelà un systéme où tout se fait sur du papier ( paper- based system).
Comme vous le savez, c’est lent, cela demande beaucoup de travail et de ressources, la procédure d’ouverture des plis est lourde, etc . Nous devons oeuvrer afin d’être à l’avant- garde du progrés, car je dois confesser qu’en termes de technologie bancaire, nous avons accusé du retard » , a expliqué le gouverneur de la BoM. En adoptant un systéme électronique, la BoM rendra plus efficient le traitement des bons du Trésor et des titres du gouvernement. Ainsi, la soumission des offres, le traitement et le réglement des enchéres retenues se feront en un temps plus court.
« Libres de décider »
Les enchérisseurs pourront, de leur domicile, accéder au systéme électronique géré par la BoM à travers une fenêtre et soumettre leurs offres on- line.
Le gouverneur de la BoM a saisi l’occasion pour assurer le secteur bancaire et la Mauritius Bankers Association de son soutien dans leurs efforts à passer au modéle 24/ 7.
Selon le gouverneur de la BoM : « Le secteur bancaire est presque déjà dans le modéle du 24/ 7. C’est le cas au sein des agences bancaires qui sont présentes à l’aéroport. Le même principe s’applique aux ATM. Nous laissons aux banques la latitude de décider si elles veulent travailler 24 heures sur sept jours. Nous voulons qu’elles soient libres de décider de maniére responsable de la façon de mener leurs activités. Mais pour passer au modéle du 24/ 7, un changement de mentalité s’impose » , a- t- il affirmé. Il a également ajouté que concernant le développement du secteur financier, des pourparlers ont été initiés avec la Financial Services Commission, les institutions bancaires et les autres parties prenantes qui déboucheront sur une session de brainstorming.
« Stabilité financiére »
« Notre systéme financier nécessite une profonde réflexion. Nous devons adopter une position qui nous permette de jouer un rôle beaucoup plus dynamique à l’avenir. » Le gouverneur de la BoM a fait un commentaire sur le deuxiéme rapport de la Financial Stability de la BoM qui devrait paraître hier dans la soirée.
« Ce n’est pas encore le meilleur des Financial Stability Reports » , a- t- il laissé entendre. Il souhaite que les prochains rapports soient plus étoffés grâce aux suggestions venant de tout le monde.
« La stabilité financiére, c’est l’affaire de tout le monde. Elle concerne non seulement le secteur bancaire, mais également les secteurs non bancaires, les ménages, les entreprises, etc . »
C’est ce qu’a déclaré hier dans la matinée le gouverneur de la Bank of Mauritius ( BoM) lors d’un point de presse tenu au siége de la banque. En dehors de la presse, plusieurs responsables d’institutions bancaires avaient été conviés à cette conférence qui a précédé le premier Banking Committee de l’année 2009.
Selon Rundheersing Bheenick, il est temps pour la banque centrale de mettre à profit la plate- forme des technologies de l’information dont elle dispose pour accroître son efficacité.
« Cela fait maintenant presque deux décennies que la BoM procéde à la vente aux enchéres des titres du Trésor. Nous avons jusquelà un systéme où tout se fait sur du papier ( paper- based system).
Comme vous le savez, c’est lent, cela demande beaucoup de travail et de ressources, la procédure d’ouverture des plis est lourde, etc . Nous devons oeuvrer afin d’être à l’avant- garde du progrés, car je dois confesser qu’en termes de technologie bancaire, nous avons accusé du retard » , a expliqué le gouverneur de la BoM. En adoptant un systéme électronique, la BoM rendra plus efficient le traitement des bons du Trésor et des titres du gouvernement. Ainsi, la soumission des offres, le traitement et le réglement des enchéres retenues se feront en un temps plus court.
« Libres de décider »
Les enchérisseurs pourront, de leur domicile, accéder au systéme électronique géré par la BoM à travers une fenêtre et soumettre leurs offres on- line.
Le gouverneur de la BoM a saisi l’occasion pour assurer le secteur bancaire et la Mauritius Bankers Association de son soutien dans leurs efforts à passer au modéle 24/ 7.
Selon le gouverneur de la BoM : « Le secteur bancaire est presque déjà dans le modéle du 24/ 7. C’est le cas au sein des agences bancaires qui sont présentes à l’aéroport. Le même principe s’applique aux ATM. Nous laissons aux banques la latitude de décider si elles veulent travailler 24 heures sur sept jours. Nous voulons qu’elles soient libres de décider de maniére responsable de la façon de mener leurs activités. Mais pour passer au modéle du 24/ 7, un changement de mentalité s’impose » , a- t- il affirmé. Il a également ajouté que concernant le développement du secteur financier, des pourparlers ont été initiés avec la Financial Services Commission, les institutions bancaires et les autres parties prenantes qui déboucheront sur une session de brainstorming.
« Stabilité financiére »
« Notre systéme financier nécessite une profonde réflexion. Nous devons adopter une position qui nous permette de jouer un rôle beaucoup plus dynamique à l’avenir. » Le gouverneur de la BoM a fait un commentaire sur le deuxiéme rapport de la Financial Stability de la BoM qui devrait paraître hier dans la soirée.
« Ce n’est pas encore le meilleur des Financial Stability Reports » , a- t- il laissé entendre. Il souhaite que les prochains rapports soient plus étoffés grâce aux suggestions venant de tout le monde.
« La stabilité financiére, c’est l’affaire de tout le monde. Elle concerne non seulement le secteur bancaire, mais également les secteurs non bancaires, les ménages, les entreprises, etc . »