Afrique : Une rencontre en décembre à Maputo sur la crise alimentaire
Thématique :
mozambique
Le Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale (CGIAR) organisera une rencontre du 1er au 2 décembre à Maputo, la capitale du Mozambique, afin de discuter des meilleures approches pour satisfaire les besoins en nourriture des pauvres en Afrique.
La rencontre va regrouper plus de 700 spécialistes en matière de nourriture et d'environnement, des décideurs et des représentants des bailleurs.
Le CGIAR est un partenariat stratégique qui rassemble des pays, des organisations nationales et internationales et des fondations privées.
Selon les organisateurs, quatre crises ont profondément secoué le système alimentaire mondial, notamment le changement climatique, la flambée des prix de la nourriture, la hausse du coût de l'énergie, et la crise financière mondiale.
Rien qu'au cours des trois dernières années, le nombre personnes souffrant de famine à travers le monde a augmenté de 75 millions.
Les bas prix de la nourriture au cours des dernières décennies ont poussé beaucoup de gouvernements à diminuer leurs investissements dans l'agriculture, ce qui a rendu l'agriculture très vulnérable aux crises et à leurs conséquences tragiques pour les personnes.
Ces effets ont été surtout ressentis en Afrique sub-saharienne où la famine était déjà une réalité quotidienne.
Les sols infertiles, les pratiques agricoles non durables, les coûts élevés des intrants agricoles comme les engrais ainsi que la lente adaptation des technologies agricoles modernes ont rendu l'Afrique vulnérable à ces crises.
Pour faire face à cette situation, le CGIAR a fait une analyse détaillée pour identifier et recommander l'investissement dans de meilleures approches pour impulser la croissance de la productivité agricole au profit des petits paysans et des consommateurs en Afrique.
Selon le CGIAR, ces approches prouvées peuvent réduire presque de moitié le taux de pauvreté en Afrique, c'est-à-dire de 48 à 25 pour cent dans les dix prochaines années.
La rencontre va regrouper plus de 700 spécialistes en matière de nourriture et d'environnement, des décideurs et des représentants des bailleurs.
Le CGIAR est un partenariat stratégique qui rassemble des pays, des organisations nationales et internationales et des fondations privées.
Selon les organisateurs, quatre crises ont profondément secoué le système alimentaire mondial, notamment le changement climatique, la flambée des prix de la nourriture, la hausse du coût de l'énergie, et la crise financière mondiale.
Rien qu'au cours des trois dernières années, le nombre personnes souffrant de famine à travers le monde a augmenté de 75 millions.
Les bas prix de la nourriture au cours des dernières décennies ont poussé beaucoup de gouvernements à diminuer leurs investissements dans l'agriculture, ce qui a rendu l'agriculture très vulnérable aux crises et à leurs conséquences tragiques pour les personnes.
Ces effets ont été surtout ressentis en Afrique sub-saharienne où la famine était déjà une réalité quotidienne.
Les sols infertiles, les pratiques agricoles non durables, les coûts élevés des intrants agricoles comme les engrais ainsi que la lente adaptation des technologies agricoles modernes ont rendu l'Afrique vulnérable à ces crises.
Pour faire face à cette situation, le CGIAR a fait une analyse détaillée pour identifier et recommander l'investissement dans de meilleures approches pour impulser la croissance de la productivité agricole au profit des petits paysans et des consommateurs en Afrique.
Selon le CGIAR, ces approches prouvées peuvent réduire presque de moitié le taux de pauvreté en Afrique, c'est-à-dire de 48 à 25 pour cent dans les dix prochaines années.