Importantes retombées sociales du pétrole en Libye
Thématique :
afrique
PANAPRESS, 24 avril 2009
Découvert en 1958, le pétrole libyen a été exploité à partir 1959 avec l’exportation des premiers barils à l’étranger, ce qui a fourni des moyens supplémentaires à l’Etat libyen et amélioré les conditions de vie des populations dont le revenu annuel par habitant, estimé à l’époque de 35 dollars US, est passé en 2007 à plus 8.000 dollars US, ce qui confère au pays le statut de l’une des plus riches nations d’Afrique.
L’aventure pétrolière en Libye remonte à la promulgation, en 1953, de la loi sur les mines qui a octroyé à certaines sociétés étrangères des autorisations de prospection pour le pétrole à travers des tests préliminaires sans le droit de forage qui a été adopté en novembre 1955 dans le cadre de la loi du pétrole qui organise les procédures et conditions pour l’obtention de permis.
Au début les conditions de contrat de partage donnait à l’Etat libyen 50% des bénéfices contre 50% pour les compagnie étrangères qui étaient à cette époque au nombre de 55.
Les nouveaux contrats signés actuellement par la Libye avec les sociétés étrangères tiennent compte des changements sur le marché pétrolier international ce qui a exigé la révision des anciens contrats pour appliquer le 4ème procédés qui stipule la baisse de la part de ces sociétés pour atteindre 12% pour la société étrangère et 88% pour la Compagnie nationale libyenne de pétrole (NOC).
Toutefois, à la différence des autres pays producteurs de pétrole qui ont privilégié d’injecter leurs pétrodollars dans la finance internationale notamment les bourses de valeurs et autres investissements à l’étranger, la Libye a consacré plus de 80% des ressources pétrolières à des investissements dans le développement durable au service de la promotion de la société.
Ce choix délibéré de la Libye intervient en vertu des principes énoncés par la révolution du premier septembre 1969 motivée par le souci d’établir la justice, de lever l’oppression et d’assurer la liberté totale aux citoyens et cela grâce à la répartition équitable des revenus du pays et à la justice sociale entre les citoyens.
Les revenus pétroliers ont permis ainsi à la révolution libyenne de jeter les bases d’une activité économique moderne en entreprenant de grands chantiers pour la mise en place d’infrastructures de base destinées à servir le développement économique et social du pays.
Routes, habitations, hôpitaux, écoles, transport, agriculture, élevage, et autres secteurs socio-économiques, ont tous connu un grand boom ayant permis de promouvoir et d’améliorer les conditions de vie des populations du pays.
Aujourd’hui encore, malgré les difficultés de la conjoncture économique internationale, la plupart des services, comme la santé et l’éducation, demeurent gratuits en Libye, tandis que l’Etat poursuit sa politique de subvention de la plupart des produits alimentaires de base ainsi que des services d’eau et d’électricité.
Les autorités libyennes ont poursuivi inlassablement cet effort de développement avec la consacration en 2007 d’une enveloppe de 104 milliards de dinars libyen (1,300 dinar libyens = 1 dollar américain) pour les infrastructures de base et les projets de développement visant la prospérité et le bien-être du peuple libyen.
Les témoignages et rapports, aujourd’hui, des organisations internationales comme le PNUD sur la hausse de l’indice de développement humain en Libye qui se place parmi les plus élevés sur le continent africain et dans le monde arabe, démontrent que les ressources pétrolières du pays ont permis d’assurer une vie digne à la majorité des populations libyennes.
Conscientes que malgré tous ces efforts déployés par l’Etat, une frange de la population libyen n’a pas pu bénéficier de ce développement, les autorités du pays ont entrepris de mettre en place un programme de distribution des richesses afin d’atteindre les couches nécessiteuses de la population et cela par la création d’un Fonds de développement économique et social.
Créé sur initiative du guide Mouammar Kadhafi en vue de constituer des capitaux au profit des familles nécessiteuses pour améliorer leurs conditions de vie et leur donner leur part des richesses du pays, ce Fonds de développement économique et social est doté des ressources financières d’un montant de 9377 millions de dinars libyens tirés des réserves générés par les revenus pétrolier.
Le programme de distribution des richesses vise à permettre aux familles libyennes nécessiteuses d’avoir leur part de la richesse et de contribuer ainsi grâce aux intérêts que génèrent les porte-feuilles financier investis à leur profit par le fonds de relever leurs niveaux de revenus et partant d’améliorer leurs conditions de vie.
Les investissements directs supervisés par le Fonds ont atteint plus de 5 milliards 400 millions de dinars libyens et le nombre de sociétés propriétés du Fonds ou dans lesquelles il contribue est de 47 avec la création prochaine de 20 projets d’investissements au profit de familles.
Un rapport publiée par la Banque centrale de Libye (BCL) a précisé que les recettes du pétrole de 2008 ont représenté 88,3% de l’ensemble des revenus en devise soit 37,7 milliards de dollars contre 24,3 milliards en 2007.
La Libye possède des réserves de pétrole estimées à environ 40 milliards de barils et gazière de 1.500 milliards de m3, rappelle-t-on.
Découvert en 1958, le pétrole libyen a été exploité à partir 1959 avec l’exportation des premiers barils à l’étranger, ce qui a fourni des moyens supplémentaires à l’Etat libyen et amélioré les conditions de vie des populations dont le revenu annuel par habitant, estimé à l’époque de 35 dollars US, est passé en 2007 à plus 8.000 dollars US, ce qui confère au pays le statut de l’une des plus riches nations d’Afrique.
L’aventure pétrolière en Libye remonte à la promulgation, en 1953, de la loi sur les mines qui a octroyé à certaines sociétés étrangères des autorisations de prospection pour le pétrole à travers des tests préliminaires sans le droit de forage qui a été adopté en novembre 1955 dans le cadre de la loi du pétrole qui organise les procédures et conditions pour l’obtention de permis.
Au début les conditions de contrat de partage donnait à l’Etat libyen 50% des bénéfices contre 50% pour les compagnie étrangères qui étaient à cette époque au nombre de 55.
Les nouveaux contrats signés actuellement par la Libye avec les sociétés étrangères tiennent compte des changements sur le marché pétrolier international ce qui a exigé la révision des anciens contrats pour appliquer le 4ème procédés qui stipule la baisse de la part de ces sociétés pour atteindre 12% pour la société étrangère et 88% pour la Compagnie nationale libyenne de pétrole (NOC).
Toutefois, à la différence des autres pays producteurs de pétrole qui ont privilégié d’injecter leurs pétrodollars dans la finance internationale notamment les bourses de valeurs et autres investissements à l’étranger, la Libye a consacré plus de 80% des ressources pétrolières à des investissements dans le développement durable au service de la promotion de la société.
Ce choix délibéré de la Libye intervient en vertu des principes énoncés par la révolution du premier septembre 1969 motivée par le souci d’établir la justice, de lever l’oppression et d’assurer la liberté totale aux citoyens et cela grâce à la répartition équitable des revenus du pays et à la justice sociale entre les citoyens.
Les revenus pétroliers ont permis ainsi à la révolution libyenne de jeter les bases d’une activité économique moderne en entreprenant de grands chantiers pour la mise en place d’infrastructures de base destinées à servir le développement économique et social du pays.
Routes, habitations, hôpitaux, écoles, transport, agriculture, élevage, et autres secteurs socio-économiques, ont tous connu un grand boom ayant permis de promouvoir et d’améliorer les conditions de vie des populations du pays.
Aujourd’hui encore, malgré les difficultés de la conjoncture économique internationale, la plupart des services, comme la santé et l’éducation, demeurent gratuits en Libye, tandis que l’Etat poursuit sa politique de subvention de la plupart des produits alimentaires de base ainsi que des services d’eau et d’électricité.
Les autorités libyennes ont poursuivi inlassablement cet effort de développement avec la consacration en 2007 d’une enveloppe de 104 milliards de dinars libyen (1,300 dinar libyens = 1 dollar américain) pour les infrastructures de base et les projets de développement visant la prospérité et le bien-être du peuple libyen.
Les témoignages et rapports, aujourd’hui, des organisations internationales comme le PNUD sur la hausse de l’indice de développement humain en Libye qui se place parmi les plus élevés sur le continent africain et dans le monde arabe, démontrent que les ressources pétrolières du pays ont permis d’assurer une vie digne à la majorité des populations libyennes.
Conscientes que malgré tous ces efforts déployés par l’Etat, une frange de la population libyen n’a pas pu bénéficier de ce développement, les autorités du pays ont entrepris de mettre en place un programme de distribution des richesses afin d’atteindre les couches nécessiteuses de la population et cela par la création d’un Fonds de développement économique et social.
Créé sur initiative du guide Mouammar Kadhafi en vue de constituer des capitaux au profit des familles nécessiteuses pour améliorer leurs conditions de vie et leur donner leur part des richesses du pays, ce Fonds de développement économique et social est doté des ressources financières d’un montant de 9377 millions de dinars libyens tirés des réserves générés par les revenus pétrolier.
Le programme de distribution des richesses vise à permettre aux familles libyennes nécessiteuses d’avoir leur part de la richesse et de contribuer ainsi grâce aux intérêts que génèrent les porte-feuilles financier investis à leur profit par le fonds de relever leurs niveaux de revenus et partant d’améliorer leurs conditions de vie.
Les investissements directs supervisés par le Fonds ont atteint plus de 5 milliards 400 millions de dinars libyens et le nombre de sociétés propriétés du Fonds ou dans lesquelles il contribue est de 47 avec la création prochaine de 20 projets d’investissements au profit de familles.
Un rapport publiée par la Banque centrale de Libye (BCL) a précisé que les recettes du pétrole de 2008 ont représenté 88,3% de l’ensemble des revenus en devise soit 37,7 milliards de dollars contre 24,3 milliards en 2007.
La Libye possède des réserves de pétrole estimées à environ 40 milliards de barils et gazière de 1.500 milliards de m3, rappelle-t-on.