Le FMI inquiet du partenariat entre la Rdc et la Chine
Kinshasa, 15/10/2007, Digital Congo
La communauté internationale évite un nouvel endettement public supplémentaire à la RDC, qui irait à l’encontre de l’allègement de la dette publique considérée dans le cadre du point d’achèvement de l’initiative d’allègement de la dette multinationale.
Le représentant résident du FMI à Kinshasa, Xavier Maret, n’a pas caché toute sa désapprobation et son inquiétude au sujet du protocole d’accord signé récemment à Kinshasa entre la RDC et la Chine, lors d’une déclaration faite la semaine dernière à la presse. Pour lui, la communauté internationale veut éviter un nouvel endettement public supplémentaire à la RDC, qui irait à l’encontre de l’allègement de la dette publique considérée dans le cadre du point d’achèvement de l’initiative d’allègement de la dette multinationale.
En sa qualité de conseiller du gouvernement en cette matière, le FMI conseille vivement le gouvernement à faire attention aux impacts macroéconomiques de ce projet dans la mesure où il s’agit des projets importants à impact macroéconomique non négligeable en matière d’importation, d’exportation, de taux de change sur le plan budgétaire etc. Un autre souci que se font les institutions de Bretton Woods est lié au montage financier que risque d’entraîner ce vaste protocole d’accord entre les deux pays.
La RDC pour l’association avec d’autres partenaires au développement
Du côté de la RDC, les autorités congolaises ont souhaité mettre un accent particulier sur la mise en avant de ce genre de partenariat. Le protocole d’accord conclu avec la Chine, note-t-on dans les milieux financiers congolais, ne remet en rien en cause les accords signés entre la RDC et d’autres partenaires au développement.
Il ne s’agit pas d’un revirement de politique, mais rentre plutôt dans le cadre de remise en œuvre des cinq chantiers du Chef de l’Etat et aussi la mise en œuvre des stratégies pour la réduction de pauvreté.
La communauté internationale évite un nouvel endettement public supplémentaire à la RDC, qui irait à l’encontre de l’allègement de la dette publique considérée dans le cadre du point d’achèvement de l’initiative d’allègement de la dette multinationale.
Le représentant résident du FMI à Kinshasa, Xavier Maret, n’a pas caché toute sa désapprobation et son inquiétude au sujet du protocole d’accord signé récemment à Kinshasa entre la RDC et la Chine, lors d’une déclaration faite la semaine dernière à la presse. Pour lui, la communauté internationale veut éviter un nouvel endettement public supplémentaire à la RDC, qui irait à l’encontre de l’allègement de la dette publique considérée dans le cadre du point d’achèvement de l’initiative d’allègement de la dette multinationale.
En sa qualité de conseiller du gouvernement en cette matière, le FMI conseille vivement le gouvernement à faire attention aux impacts macroéconomiques de ce projet dans la mesure où il s’agit des projets importants à impact macroéconomique non négligeable en matière d’importation, d’exportation, de taux de change sur le plan budgétaire etc. Un autre souci que se font les institutions de Bretton Woods est lié au montage financier que risque d’entraîner ce vaste protocole d’accord entre les deux pays.
La RDC pour l’association avec d’autres partenaires au développement
Du côté de la RDC, les autorités congolaises ont souhaité mettre un accent particulier sur la mise en avant de ce genre de partenariat. Le protocole d’accord conclu avec la Chine, note-t-on dans les milieux financiers congolais, ne remet en rien en cause les accords signés entre la RDC et d’autres partenaires au développement.
Il ne s’agit pas d’un revirement de politique, mais rentre plutôt dans le cadre de remise en œuvre des cinq chantiers du Chef de l’Etat et aussi la mise en œuvre des stratégies pour la réduction de pauvreté.