Djibouti fait de la chaîne de transport l’épine dorsale de son économie
Thématique :
djibouti
Au lendemain de son indépendance en 1977, Djibouti a opté pour une économie de services et a mis sur rail des projets visant à développer progressivement sa chaîne de transport.
Le choix des autorités djiboutiennes de faire du développement de la logistique une priorité nationale vient du fait que le pays occupe une position géostratégique sans commune mesure dans la région de la Corne de l’Afrique.
Elle lui confère un rôle de plateforme avancée pour servir de centre de transit et de redistribution à vocation régionale et internationale.
Les transports constituent à Djibouti la principale contribution à la formation du produit intérieur brut (PIB) du pays avec un taux de près de 37% en 2007, selon un document publié récemment par le ministère de l’équipement et des transports, à l’occasion des réunions interministérielles du COMESA.
Le secteur du transport est aussi un instrument incontournable de toute stratégie de réduction de la pauvreté à Djibouti puisque celui-ci constitue une source d’emplois pour environ 10 000 personnes dans un pays où le taux de chômage dépasse les 60%.
L’existence d’infrastructures portuaires ultra modernes (le port de Doraleh), des infrastructures routières en très bon état ainsi que la position géostratégique de Djibouti, carrefour des routes maritimes, justifient à elles seules, le rôle fondamental que tient le secteur de la logistique au sein de l’économie du pays.
Le ports constituent les points focqaux d'animation des activités des transports notamment le Port autonome international de Djibouti (PAID) et le port de Doraleh) ainsi que le corridor routier Djibouto-éthiopien, lui-même très lié aux activités des ports.
En 2008, le PAID, géré depuis l’année 2000 par DP World, a atteint la plus forte performance de son histoire avec plus de 243 000 EVP et près de 9 millions de tonnes de marchandises traitées.
Quant au transport routier, il a progressé de manière significative depuis que le trafic du port érythréen d’Assab a été dérouté sur Djibouti à cause du conflit entre l’Ethiopie et l’Erythrée.
Le nombre de camions est passé de 89 000, en 2000, à plus de 171 445, en 2008, dont 98% appartiennent aux Ethiopiens contre 2% seulement pour des transitaires djiboutiens.
Le choix des autorités djiboutiennes de faire du développement de la logistique une priorité nationale vient du fait que le pays occupe une position géostratégique sans commune mesure dans la région de la Corne de l’Afrique.
Elle lui confère un rôle de plateforme avancée pour servir de centre de transit et de redistribution à vocation régionale et internationale.
Les transports constituent à Djibouti la principale contribution à la formation du produit intérieur brut (PIB) du pays avec un taux de près de 37% en 2007, selon un document publié récemment par le ministère de l’équipement et des transports, à l’occasion des réunions interministérielles du COMESA.
Le secteur du transport est aussi un instrument incontournable de toute stratégie de réduction de la pauvreté à Djibouti puisque celui-ci constitue une source d’emplois pour environ 10 000 personnes dans un pays où le taux de chômage dépasse les 60%.
L’existence d’infrastructures portuaires ultra modernes (le port de Doraleh), des infrastructures routières en très bon état ainsi que la position géostratégique de Djibouti, carrefour des routes maritimes, justifient à elles seules, le rôle fondamental que tient le secteur de la logistique au sein de l’économie du pays.
Le ports constituent les points focqaux d'animation des activités des transports notamment le Port autonome international de Djibouti (PAID) et le port de Doraleh) ainsi que le corridor routier Djibouto-éthiopien, lui-même très lié aux activités des ports.
En 2008, le PAID, géré depuis l’année 2000 par DP World, a atteint la plus forte performance de son histoire avec plus de 243 000 EVP et près de 9 millions de tonnes de marchandises traitées.
Quant au transport routier, il a progressé de manière significative depuis que le trafic du port érythréen d’Assab a été dérouté sur Djibouti à cause du conflit entre l’Ethiopie et l’Erythrée.
Le nombre de camions est passé de 89 000, en 2000, à plus de 171 445, en 2008, dont 98% appartiennent aux Ethiopiens contre 2% seulement pour des transitaires djiboutiens.